livre sur la Megadrive en presse

Salut !

Pour info j'ai choppé cela en maison de la presse



Rien que le début me donne l'impression qu'il a été écrit par un pro nintendo  

Ca fait mal au cul de lire des trucs pareils, surtout qu'ils seront bientôt cités comme l'évangile.

Johnny16Bit a écrit:Ca fait mal au cul de lire des trucs pareils, surtout qu'ils seront bientôt cités comme l'évangile.

+1

Je n'aime pas du tout le style de cette "préface", à voir le reste de la revue.

Ah ouais la préface est bien pourrie ! ça donne pas envie de lire la suite mais plutôt de brûler ce genre de torche cul

Je ne sais pas comment est le contenu du bouquin mais je ne vois pas l'intérêt d'enfoncer Sega quand tu fais un bouquin portant sur la megadrive, le mec replace le truc dans un contexte guerre des consoles ou genre Sega éternel second qui court après Nintendo.
Si il entame les choses avec ça en tête il aurait aussi bien pu faire un ouvrage intitulé "record of consoles war", la megadrive comme les autres consoles Sega avaient assez de spécificités pour qu'on fasse ressortir ces spécificités, de plus présenter Sega comme suiveur est faux.
La plupart du temps ils ont été précurseurs avec plus ou moins de succès, toujours avides d'épater les joueurs avant les autres, cette prise de risques n'a pas joué en leur faveur mais ils avaient à cœur d'apporter l'expérience arcade chez les joueurs avec des solutions toujours ambitieuses.
C'est ça qui est intéressant, pas le fait de savoir que Nintendo vendait mieux que Sega, dans l'absolu l'intérêt de cette époque et de ces machines c'était que chaque boite avait ses propres solutions techniques et un catalogue de jeux très différents d'une machine à l'autre.

Et surtout que tout les mondes y trouvais sont compte avec tel ou tel machine acquise a l epoque..

A l epoque je m en rendais pas bien compte de la gueguerre......je jouai avec mes systems point barre....pourit ou pas.


Je vais au magasin sois peu...j y jeterai un zoeil qmm

Cette préface laisse à désirer, ça ne donne pas forcement envie de lire la suite...

Ouais si quelqu'un peu nous faire un retour sur le contenu ça serait top.En plus de ça 8€ le mag' c'est hyper cher.

Je viens de passer dans deux presses proches de chez moi et ils ne l'ont pas . Ça m'évitera de claquer encore huit balles dans une merde .

CDZ a écrit:Je ne sais pas comment est le contenu du bouquin mais je ne vois pas l'intérêt d'enfoncer Sega quand tu fais un bouquin portant sur la megadrive, le mec replace le truc dans un contexte guerre des consoles ou genre Sega éternel second qui court après Nintendo.
Si il entame les choses avec ça en tête il aurait aussi bien pu faire un ouvrage intitulé "record of consoles war", la megadrive comme les autres consoles Sega avaient assez de spécificités pour qu'on fasse ressortir ces spécificités, de plus présenter Sega comme suiveur est faux.
La plupart du temps ils ont été précurseurs avec plus ou moins de succès, toujours avides d'épater les joueurs avant les autres, cette prise de risques n'a pas joué en leur faveur mais ils avaient à cœur d'apporter l'expérience arcade chez les joueurs avec des solutions toujours ambitieuses.
C'est ça qui est intéressant, pas le fait de savoir que Nintendo vendait mieux que Sega, dans l'absolu l'intérêt de cette époque et de ces machines c'était que chaque boite avait ses propres solutions techniques et un catalogue de jeux très différents d'une machine à l'autre.

Complètement.
Après, le mec qui signe l'édito (le lièvre et la tortue ) signe peut-être pas tout le mag, mais ça a de quoi agacer comme entrée en matière: mal renseigné ou biaisé, il est en tout cas à contre emploi... Parce que quitte à tordre la réalité, autant le faire dans le sens du fan qui a acheté le mag.

On dirait deux choses :

Le gars qui prend son cas pour une généralité, c'est à dire qu'il pense que tout le monde fonctionne comme lui, Sega et Nintendo compris, ce qui lui permet d'inférer des états d’âmes sans ne rien savoir de la réalité (à moins qu'à cette époque, il était le confident de ces deux firmes et qu'il connaît ainsi ce que chaque PDG pensait vraiment).

Le jeune journaliste qui débute et qui, comme beaucoup de journalistes, ne fait pas la différence entre faits et interprétations de ces faits et qui voulait mettre un peu de profondeur et de perspicacité à son édito. Si c'est le cas, il serait judicieux qu'il revoit sa copie en matière d'objectivité. Avec les mêmes données, il aurait pu faire quelque chose de tout à fait buvable. Mais en parlant ici uniquement de données, et non pas de lecture personnelle de celles-ci.

Le reste du livre n'est pas très plaisant à lire, je continu de le faire mais ce que j'en ressens c'est qu'il a été fait par des jeunes qui n'ont pas connu cette période, et qui ce sont basés sur les "on dit" des forums...

Pour ceux que ça intéresse, quand je l'aurais terminé je pourrais vous le prêter 


D'autre part, l'auteur de la préface est visible sur cette page YouTube

Et sa page FaceBook

Putain, balancer que la Master est une non-console, faut oser...

Broussard a écrit:qui voulait mettre un peu de profondeur et de perspicacité à son édito. Si c'est le cas, il serait judicieux qu'il revoit sa copie en matière d'objectivité.

Juste pour rappeler qu'un "édito" n'a pas à être objectif . Au contraire c'est sensé exposer les volontés éditoriales au travers d'un point de vue spécifique. C'est pour cette raison que j'ai employer le terme "préface" qui sert d'avantage à introduire le sujet et donner envie. Même s'il est vrai que le terme "édito" est bien adapté ici, puisqu'il s'agit d'un magazine, pour moi, ça ne correspond pas à la teneur du texte qui est une simple présentation un peu sensationnaliste.

noiraude a écrit:Putain, balancer que la Master est une non-console, faut oser...

En même temps, rappelles-toi cet illustre gameur :

Le Geek du Manchdi a écrit:

Broussard a écrit:qui voulait mettre un peu de profondeur et de perspicacité à son édito. Si c'est le cas, il serait judicieux qu'il revoit sa copie en matière d'objectivité.

Juste pour rappeler qu'un "édito" n'a pas à être objectif . Au contraire c'est sensé exposer les volontés éditoriales au travers d'un point de vue spécifique. C'est pour cette raison que j'ai employer le terme "préface" qui sert d'avantage à introduire le sujet et donner envie. Même s'il est vrai que le terme "édito" est bien adapté ici, puisqu'il s'agit d'un magazine, pour moi, ça ne correspond pas à la teneur du texte qui est une simple présentation un peu sensationnaliste.

Ouais mais quand tu fait un magasine à la gloire d'une machine, l'édito / préface est plus que bancale, et honnêtement, si je l'avais lu dans la boutique, je n'aurais pas pris le livre !

Surtout que je t'assure que la suite est du même acabit...

Mast3rSama a écrit:Ouais mais quand tu fait un magasine à la gloire d'une machine, l'édito / préface est plus que bancale, et honnêtement, si je l'avais lu dans la boutique, je n'aurais pas pris le livre !
Surtout que je t'assure que la suite est du même acabit...

Ce n'était pas pour défendre l'auteur, juste pour commenter l'usage du terme "édito" .

Plus important : n'achetez pas ce magazine ! Bon, je l'ai chopé, juste parcouru, mais franchement ça ne vaut pas les huit balles demandés. J'ai la sensation de m'être fait arnaqué . Ça m'apprendra à faire l'imbécile . Comme ça fait longtemps que je n'avais pas acheté de magazine, ça m'a donné envie... Ne faites pas la même erreur que moi !

Mast3rSama a écrit:En même temps, rappelles-toi cet illustre gameur :

Cette vidéo est ancienne, il faut vraiment replacé les choses dans leurs contextes. A l'époque de la PS1 et de la Saturn, en n'évoquant uniquement le PAL, je pensais la même chose que Marcus. Les jeux étaient moins nombreux sur Saturn et en effet, dans la "majorité" des cas, les versions PS1 étaient bien plus belle car plus facile à programmé, c'est un fait.

Il aura fallu que j'attende plusieurs années avec la découverte des merveilleux jeux japonais pour revoir mon jugement, mais à l'époque en France, oui la Saturn c'était un échec, que ce soit commercial mais aussi vu le peu de jeux proposé. Je comprend le raisonnement que Marcus à eu à l'époque car il avait une vision sur le marché national. La Saturn PAL, malgré quelques excellentes exclusivités, "ne servait" pas à grand chose vu le catalogue et la qualité des jeux proposé sur PS1 PAL, elle ne pouvait tout simplement pas rivalisé avec la console de Sony.

Il n'y avait qu'à voir au collège, peu de collégiens avait la Saturn et ceux qui l'avaient lorgné davantage sur les possesseurs de PS1 que l'inverse

Honteux...
quand je lis cette préface c'est veto direct...
CDZ à très bien résumé sur son poste + haut.

Johnny16Bit a écrit:Ca fait mal au cul de lire des trucs pareils, surtout qu'ils seront bientôt cités comme l'évangile.

C'est ça qui me fait le + chier...

Et comme souvent je lis pour les 8 bits... Comparer la qualité des consoles et des jeux qui vont avec par les nombres de ventes est une ineptie : chacune avaient leurs qualités et leurs cibles....
En plus dans le cas précis c'est souvent interpréter et pervertir les chiffres...la Megadrive à remplacé la Master bien avant la SNES pour la NES (09/1990 VS 04/1992) qui a continué à être présente dans les supermarché après la SMS.
Donc pas comparable...

Après le marché des consoles n'était pas le même, aujourd'hui les consoles sont beaucoup des clones en ce qui concerne sony et microsoft du moins.
A notre époque pour les quarantenaires et pré quarantenaires y avait pas de sortie mondiale, t'avais une partie énorme du catalogue jap qui n'arrivait jamais ou alors des années après (pour les JRPG en particulier), le marché était vachement plus morcelé, t'avais la partie Japon ensuite USA et Europe en général pour finir avec des sorties échelonnées.
Ce qui fait aussi que t'avais des pays ou y avait des tendances assez fortes pour une console ou une autre, ne serait ce qu'au Japon, Nintendo a bien serré les fesses au moment de la sortie de la pc engine, elle a marché fort.
Cependant la NES a tellement bien marché que Nintendo était quand même assis sur un tas d'or, c'est pour ça qu'ils se faisaient un peu tirer l'oreille pour la renouveler, et un peu ça aussi qui avait poussé les types de chez hudson à pousser à la roue et développer leur propre hardware car ils espéraient une console plus performante et s'affranchir des limites de la famicom.
Je pense qu'ils ont pu capitaliser sur la nes chez nintendo, y a un paquet de gens qui ont eu la nes et c'est vrai qu'il y avait masse de bons jeux sur cette machine pour être tranquille et retrouver au moins autant de bonnes choses sur super nintendo en mieux.

De la même façon Sony a bénéficié de la même chose pour le passage PS1-PS2, la PS1 a remué pas mal le paysage vidéo-ludique qu'on le veuille ou non, elle a très bien marché et quand ils ont parlé de la PS2 y avait eu tellement de joueurs passés par la PS1.
La PS1 justement qui en fait dans mes souvenirs et de mon point de vue était davantage l'héritière de la super nintendo que la nintendo 64, rappelons nous qu'à l'époque certes les jeux nintendo avaient une aura particulière mais y avait des boites telles que squaresoft mais aussi enix sur super nintendo, spécialistes des RPG et dont les sorties d'un final fantasy ou d'un dragon quest provoquaient absentéisme et files d'attente monstre pour se procurer un exemplaire à la sortie.
Square et Enix, entre autres ont laissé tomber la machine de nintendo pour se retrouver du côté de Sony, c'est un peu grâce à la PS1 qu'on a commencé à avoir un choix décent de Jrpg localisés officiellement au moins en anglais voir carrément en français, et je pense qu'au Japon aussi ça a dû être un point capital pour Sony, largement confirmé ensuite avec la PS2.

Jamais Sega n'a bénéficié d'un succès tel sur 2 générations de consoles en suivant et jamais de façon aussi universelle. Pour les machines de l'époque qui se lançaient en premier au Japon, car le jeu vidéo c'était très japonais, il était capital d'avoir une masse de RPG de qualité, il devait y avoir bien plus d'acheteurs potentiels de RPG que de jeux d'arcade même au Japon.
Rien que là bas avoir Square et Enix en exclu dans sa manche c'était remporter la partie, perso malgré la qualité de ce que pouvait faire sega pour sa 16 ou sa 32 bits, je pense que rien que Square et Enix ont fourni suffisamment de rpg dans leurs séries phares pour faire vendre des millions de super famicom et de PS1 au Japon, primordial à ce moment là.
Au delà des expérimentations hardware de Sega je pense que ça a largement pesé sur leurs succès insuffisants et leurs échecs plus lourds, square et enix sur saturn et c'était la win.